Le principe de fondue qui consiste à plonger des aliments dans un liquide chaud est très ancien. La viande cuite dans un caquelon d’huile bouillante et servie avec sa farandole de sauce est née, comme son nom ne l’indique pas en… Suisse. On la doit à un restaurateur de Lausanne : Georges Esenwein, propriétaire du Café Bock qui l’a proposée dès 1947.
Le nom de « fondue bourguignonne » a en revanche des racines bien plus anciennes.
Après la victoire des Confédérés suisse le 2 mars 1476 à Grandson sur l’armée bourguignonne, un grand festin réunissait les soldats qui partageaient les victuailles qui restaient dont la viande de bœuf.
Ainsi la fondue bourguignonne est née, sans vouloir froissé nos amis bourguignons, donc un plat typique de la gastronome suisse.
Une nouvelle tradition que nous souhaitons vous partager : les Adventsfenster sont utilisés pour décompter les jours avant la veille de Noël. Cette coutume est courante dans les villages et les petites villes de Suisse.
Dans un village, il devrait y avoir des personnes 24 qui décorent une ou plusieurs de leurs fenêtres dans le thème de Noël. Chaque soir, du 1er au 24 décembre, une fenêtre s’ouvre.
Chaque fenêtre doit être fermée jusqu’à ce que son heure soit révélée publiquement. Les gens se rassemblent devant chaque fenêtre pour voir l’ouverture et la décoration de la fenêtre. Chaque fenêtre doit rester allumée jusqu’au réveillon de Noël lorsque la dernière fenêtre soit révélée le 24 décembre
Le 6 décembre est un jour de fête dans l’Est de la France et les pays voisins comme l’Allemagne et la Suisse. À cette date est célébrée la Saint-Nicolas. Traditionnellement, c’est ce personnage, et non le Père Noël, qui apporte dans les foyers, les cadeaux aux enfants sages, tandis que le Père fouettard, qui l’accompagne, s’occupe des garnements.
Monsieur Schuster vous confie des souvenirs d’enfance :
« Je me souviens très bien et ça se fait toujours aujourd’hui, que les paroisses dans les villes, organisent le Saint-Nicolas de façon à ce que les foyers qui adhèrent à cette paroisse puissent bénéficier de la visite de Saint-Nicolas. Il y une très grande sortie publique officielle, le 6 décembre, qui se fait à la tombée de la nuit sur le parvis de la collégiale de Lucerne. Le Saint-Nicolas sort avec toute sa cour pour s’adresser au public, il bénit l’assistance ainsi que la ville. Il est habillé en évêque puisque c’est un personnage religieux, il est avec ses enfants d’honneur, l’âne, trois ou quatre moutons. Tout le cortège s’en va pour une promenade dans le vieux centre ville et puis dans les différents foyers qui attendent sa venue.
Les parents communiquent en amont sur la bonne ou mauvaise conduite des enfants. Dans son cortège, il y a un personnage qui joue un rôle important, habillé en noir avec un fouet : le Père Fouettard ! Il impressionne beaucoup les enfants. Je me souviens très bien quand j’étais gamin, à la maison, quand il venait, on l’attendait avec une certaine anxiété parce qu’il intimidait beaucoup, il nous rappelait certaines choses qu’on avait pas fait ou ce qu’on aurait du faire. Il proposait aussi, que si on ne s’assagissait pas, de terminer dans son sac en toile de jute. Ca se fini quand même bien, puisque dans son sac, il a des cadeaux et des fruits de saison : mandarines, oranges, noix… Le Père Fouettard demande à ce que les enfants chantent un cantique ou récite un poème pour la bonté de Saint-Nicolas. Avant de partir, Saint-Nicolas vérifie que le Père Fouettard ne reste pas dans la maison et les voilà partis pour une nouvelle maison. »
Nous souhaitons vous partager quelques coutumes de Noël, voici la première : la Couronne de l’Avent 🤩
La période de l’Avent s’étend sur les quatre semaines précédant Noël. Le temps de l’Avent est ainsi ponctué par quatre dimanches. De forme ronde et composée de branches de sapin, la couronne de l’Avent est ornementée de quatre bougies qu’il est coutume d’allumer chaque dimanche de l’Avent.
La tradition de la couronne de l’Avent, telle qu’on la représente aujourd’hui, a été inventée au XIXe siècle en Allemagne, par un pasteur de Hambourg.
Le Château Montlau était présent pour la remise du Grand Prix de l’Académie Montesquieu à Madame Catherine Larrère. Philosophe, elle a initié la reconnaissance de l’éthique environnementale et a travaillé à construire des passerelles entre universitaires et citoyens autour de l’écologie politique.
« Avec une large fraicheur citronnée, une touche de menthe et de poivre blanc au nez, ce vin gourmand et généreux a tout pour plaire. Souple, ultra-expressif, entre fruits blancs et agrumes, il déroule avec finesse et suavité en bouche. Un délice en perspective avec une sole meunière ! »
« Issue à parts égales de sémillon et de muscadelle, cette bulle développe une belle aromatique, avec un touche grillée, du volume et de l’élégance. Simple et de bon goût »